Université d’été internationale des arts & sciences pour un développement soutenable des transformations sociales (ASSiST)

Cultura21 International, Cultura21 Nordic et Cultura21 Institut e.V. (Allemagne) ont le plaisir d'annoncer le lancement de leur nouveau projet international, en collaboration avec l’Association internationale des centres culturels (I3C) et le Réseau latino-américain de l'art pour le changement social : la première Université d’été internationale des arts & sciences pour un développement soutenable des transformations sociales (ASSiST). Cet évènement aura lieu en août 2010 à Gabrovo (Bulgarie), au cœur des magnifiques montagnes des Balkans. Ce projet bénéficie du soutien de la Fondation AsieEurope (ASEF), en tant qu’action de suivi du projet Dialogue sur les Arts, la Culture et le Changement Climatique (Pékin, 2008), et du soutien de la municipalité de Gabrovo.

Cette Université d’été aura lieu du 21 au 27 août 2010. (Les activités commençant le matin du premier jour et se terminant tard le dernier jour, il sera demandé aux participants d’arriver le 20 et de repartir le 28 ou le 29 août.)

Le thème de cette toute première Université d’été sera : Marche et Espaces : façonner les transformations.

Plate-forme en ligne

Pendant les trois mois précédant l’Université d’été, les participants seront invités à se préparer seuls via une plate-forme de « réseau social » en ligne, qui restera accessible pendant l’année, entre chaque Université d’été.

Appel à candidatures

La date limite de l’appel à candidatures était fixée au 20 Mars 2010.

Appel à l’organisation d’ateliers

La date limite pour proposer l’organisation d’un atelier était fixée au 3 janvier 2010.

Contexte

Les écosystèmes, mais aussi les sociétés humaines, c’est-à-dire la justice sociale, la démocratie, la vitalité culturelle et le bien-être des populations, sont menacés par la tendance constante du développement non-soutenable. Face à une crise complexe de la civilisation, conjuguant dimensions écologiques, sociales, culturelles et économiques, atteindre un développement soutenable est un enjeu qui exige des réflexions et des réponses coordonnées. Nous connaissons tous cette phrase d'Einstein : « On ne résout pas un problème avec les modes de pensée qui l’ont engendré ». Les îlots spécialisés de connaissances et de pratiques qui existent dans nos sociétés actuelles doivent servir de base commune pour favoriser l’émergence de réponses face à la crise mondiale. Selon nous, les artistes et les scientifiques, forts de leur capacité à analyser et à repenser les situations, peuvent apporter, dans le cadre d'échanges avec la société civile, d'importantes contributions dans les années à venir, avant que le changement climatique, l’érosion de la biodiversité et d’autres phénomènes ne provoquent un effondrement de la civilisation. Pour ce faire, les artistes et les scientifiques ont cependant un besoin urgent de lieux et de temps dédiés, pour transcender les frontières entre les disciplines et sortir de leurs activités habituelles.

Cette Université d’été souhaite aborder le problème de l’absence de dialogue et de coopération entre les universitaires/chercheurs, les acteurs locaux et les artistes au sens large. Elle sera donc orientée vers un dialogue productif et un processus d’enseignement/apprentissage mutuel entre les acteurs culturels et les universitaires engagés dans des processus de changement soutenable. Des ateliers seront animés par les uns pour les autres, et inversement. Ce processus devrait aboutir à un enrichissement mutuel, permettant à chaque groupe et à chacun de repenser ses opinions et ses méthodes de travail. Cette démarche pourra se poursuivre et déboucher sur de nouvelles approches, propices au développement de projets de terrain dans le monde entier.

Cette Université d’été a pour objectif d’encourager les artistes et les scientifiques à revoir leurs méthodes de travail, à la lumière de ce qu’ils auront appris des autres participants. Elle vise également à stimuler la curiosité, l’ouverture inter- et transdisciplinaire et la réflexion critique des participants. Cette démarche leur permettra d'affronter la complexité des crises mondiales actuelles et du développement non-soutenable, grâce à des perspectives coordonnées de manière efficace et créative. En navigant à travers la richesse des dialogues entre les disciplines, les participants se découvriront des îles d’expériences communes, sur la route vers un terrain d'entente transdisciplinaire, qui marquera la fin d’un long voyage commencé pendant l’Université d’été.

L'Université d’été sera l’occasion de mieux comprendre le rôle des associations et des lieux dédiés à l’art au niveau local et la manière dont ils peuvent, au sein de réseaux nationaux et internationaux, créer une dynamique de transformations sociales soutenables, inspirée par une grande créativité entre les générations et dépassant les frontières interculturelles.

Notre vision : un creuset pour des arts & sciences transdisciplinaires et moteurs de transformation

Nous espérons que cette Université d'été sera pour les participants une période de formation de grande qualité, qui leur apportera des méthodologies, des connaissances et des stratégies innovantes dans les domaines de l’art, de la recherche et de l’action. Notre vision s’articule autour de l’idée de créer un cadre propice au développement créatif de l’autonomie méthodologique des artistes et des scientifiques qui travaillent au développement soutenable des transformations sociales. Cet évènement ne sera pas qu’une suite d’ateliers et de discussions, mais bien une « école » au sens noble du terme : un lieu d’apprentissage, d’enseignement, de partage et d’évolution commune.

L’Université d’été s’intéressera à la question du COMMENT dans le domaine des arts & sciences en faveur du développement soutenable. En posant, entre autres, les questions suivantes : comment la recherche universitaire peut-elle soutenir les artistes locaux et contemporains qui développent de nouvelles approches sociales, esthétiques ou communautaires ? Comment la pratique postmoderne de la danse par poids/contrepoids peut-elle contribuer à repenser la démocratie ? Comment les scientifiques peuvent-ils améliorer leur réflexivité et leur créativité grâce aux apports des disciplines artistiques ? Comment les artistes peuvent-ils œuvrer à la transformation sociale, sur le terrain ou plus généralement dans la société, en lien avec les universitaires ? Pour tenter de répondre à ces questions, l’Université d’été s’attachera aux points suivants : Comment les artistes et scientifiques, issus d’une grande diversité de milieux, travaillent-ils aujourd’hui ? Quelles sont leurs méthodes et approches et comment peut-on les transférer et les transmettre à d’autres artistes et scientifiques à travers le monde ? Et quels recoupements entre ces différentes approches mériteraient d’être développés ?

Ces questions sur le POURQUOI et le COMMENT ne seront pas de simples instruments, elles permettront par leur mise en relation d'encourager une réflexion au niveau paradigmatique et normatif. Cette réflexion plus « approfondie » sera centrée sur des questions spirituelles, épistémologiques, ontologiques, esthétiques et introspectives. Elle mettra en évidence, par une approche critique, les orientations et les valeurs que nous attribuons aux termes de « transformation sociale » et de « soutenable ». L’art et la philosophie, conçus comme des moyens autant que des opportunités de prendre du recul, seront au cœur de cette méthodologie approfondie d’un niveau épistémologique et par-delà le rationnel.

Notre Université d’été a pour objectif d'être, pour ses participants, un temps de formation intense et riche, à la fois interdisciplinaire, interculturel et engagé:

a) Elle vise à faciliter les recoupements entre les arts et les sciences dans une démarche de renouvellement des méthodes et des paradigmes, vers un développement soutenable de la transformation sociale. Elle vise également à partager ces éclairages avec des associations issues de la société civile. Cela concerne les arts et les sciences et inclut, d’une part, le monde universitaire, allant des sciences naturelles ou sociales à la philosophie en passant par les sciences humaines, et, d'autre part, une grande variété de pratiques et concepts artistiques, comme l’art écologique, le rôle de l’artiste dans la communauté, la sculpture sociale, les arts médiatiques, et bien d’autres encore. Pour la société civile, cela concerne les associations qui travaillent sur le terrain en faveur du développement soutenable. Le thème de l’Université d’été transcende les disciplines établies, dans un objectif d’inter- et de transdisciplinarité, mais elle s'inscrit également dans un cadre proactif et normatif, ainsi que dans une approche critique et introspective.

b) L’Université d’été a pour but de former des acteurs effectifs du changement, et non de simples observateurs des crises contemporaines ou des prophètes de l’apocalypse complètement blasés. Elle vise à encourager les transformations sociales menant à une civilisation plus soutenable : c’est-à-dire des sociétés et cultures faisant progresser la justice sociale, le bien-être économique, l’intégrité écologique et la diversité culturelle. L’Université d’été s’adresse à des artistes, des chercheurs ou des professionnels qui reconnaissent et défendent des pratiques engagées (donc normatives), introspectives, concrètes et éclairées sur le plan théorique, positives et critiques, dans les domaines de l‘art et de la science, ainsi qu’au sein de la société civile.

c) L’Université d’été souhaite faciliter les échanges transcontinentaux, ainsi que la comparaison et la découverte critique des expériences en usage ailleurs dans le monde, grâce à la participation de chercheurs et de professionnels venant d’Afrique, d’Asie, d’Europe, d’Océanie, et des Amériques.

d) L’Université d’été vise à conceptualiser et à jeter les bases de partenariats futurs et de projets potentiels parmi les artistes, scientifiques et professionnels présents.

e) L’Université d’été a pour but de mettre en place un processus transdisciplinaire qui permettra l'émergence, dans la diversité et dans l'unité, d'une culture transdisciplinaire dans les domaines des arts et des sciences, c’est-à-dire :

• Encourager les scientifiques à aller au-delà des catégories limitées de la rationalité formelle, comme il est de rigueur dans la tradition scientifique occidentale. De nouveaux outils et concepts inspirés des méthodes, des théories et des pratiques de recherche artistique, ouvrent la voie à de nouvelles possibilités d’exploration pour les scientifiques participants.
  
• Inciter les artistes à enrichir leurs pratiques actuelles. De nouvelles méthodes d'action et de recherche, comme le travail interdisciplinaire avec des scientifiques et des militants, offriront d'autres perspectives pour les artistes présents.
• Permettre aux participants de développer de multiples façons de travailler en interdisciplinarité. C’est aussi les inciter à se percevoir non plus comme « artiste », « militant » ou « scientifique », mais comme un artiscientifique, un artimilitant, ou un intellectacteur, c’est-à-dire créer de nouvelles identités pour une nouvelle culture.

Thème de la première édition de l’Université d’été (2010)

Nous vous proposons un thème pour guide de cette première édition de l’Université d’été : « Marche et Espaces : façonner les transformations.»

La marche sera au centre de nos réflexions, en tant qu’activité de découverte, d’apprentissage, d’interaction et de représentation de l’espace, que ce soit dans un contexte rural ou urbain. Cette activité apporte un éclairage des plus pertinents sur l’accent mis par l'Université d'été sur la recherche-action. En effet, il s’agit d’un domaine en relation directe avec l’expérience et non d’un problème théorique posé au nom de la science. Les liens entre pratiques culturelles et environnement (social ou celui plus large de l’écosystème) sont symbolisés par les activités de déambulation, soient-elles anciennes ou récentes (comme par exemple celles présentes dans la danse postmoderne ou au sein des communautés pastorales traditionnelles). En outre, depuis peu, des recherches basées sur la marche font leur apparition tant dans le domaine des arts que dans celui des sciences (les activités de marche contemporaines ou la nouvelle discipline de « Promenadologie », par exemple), et ouvrent le chemin à des explorations inter- et transdisciplinaires, que nous nous attacherons à détailler et à mettre en relation pendant l’Université d’été.

Vous trouverez ici des informations détaillées sur ce thème (page web en Anglais)…

Organisation et activités prévisionnelles

Les propositions suivantes, qui offrent un aperçu prévisionnel, sont susceptibles de modifications ultérieures.

L’Université d’été proposera tour à tour des ateliers méthodologiques et des discussions libres. L’emploi du temps prévisionnel, sur sept jours, de la première édition de l’Université d’été est le suivant :

• Une demi-journée d’introduction
  
• Deux jours et demi d’ateliers
• Une demi-journée de discussions libres (matinée) et une demi-journée d’introspection personnelle (après-midi)
  
• Un jour et demi d’ateliers
• Une demi-journée de discussions libres (après-midi)
• Une journée de travail en groupe sur le thème de la « formation des formateurs » lors d’un atelier-pilote transdisciplinaire sur la formation et l’apprentissage en matière de développement soutenable des transformations sociales, ainsi qu’une soirée de conclusions et de mise en perspective. 

Les sujets des ateliers couvriront de manière équilibrée un large spectre de perspectives artistiques ou universitaires, un savant mélange de points de vue critiques, voire provocateurs et d’autres plus créatifs et constructifs, ainsi que ceux d’horizons géographiques différents. La conduite des ateliers se fera selon le principe de la mutualisation des apprentissages :

• Tous les participants s’engagent à suivre tous les ateliers, afin de se confronter à des domaines et des spécialisations différentes des leurs. 
• Chaque organisateur d’atelier s’engage également à suivre les ateliers des autres membres de la communauté.
• Chaque participant assumera le rôle d’enseignant-apprenant. 

La demi-journée de discussion libre faisant suite aux trois premiers jours d’ateliers offrira la possibilité aux participants d’approfondir les expériences révélées par les premiers ateliers : Dans un premier temps, la communication entre participants sera encouragée afin de partager et de reformuler l’expérience des ateliers. Ensuite, il leur sera demandé de réfléchir à des façons communes d'exprimer ces expériences (ceci s'inscrit dans une réflexion sur les différences qui existent selon le vocabulaire propre à chacun ou sa culture.)

Durant la demi-journée consacrée à une introspection personnelle, phase essentielle de l’Université d’été, toute communication sera interrompue le temps d’une réflexion individuelle. Chacun pourra s’interroger sur ses propres pratiques en gardant à l’esprit la question suivante : « Comment intégrer dans ma recherche et ma pratique personnelles les approches émanant de perspectives différentes des miennes? »

La suite des discussions libres ainsi que les derniers jours de discussions et d’activités pilotes seront dédiés au thème du transfert : Comment transférer les apports des ateliers pour les transmettre à d’autres disciplines, artistes et scientifiques à travers le monde ? Et quels recoupements entre ces différentes approches mériteraient d’être développés ? Au cours de la demi-journée consacrée aux discussions libres, les participants seront invités à réfléchir à la manière dont la transformation des pratiques personnelles peut servir de base à un travail transdisciplinaire. Pour l'atelier pilote, les participants seront répartis dans des groupes de taille plus petite : ils tenteront de concevoir un atelier s’appuyant sur des éléments pédagogiques réutilisables que chaque participant pourra rapporter de l’Université d’été afin de les approfondir une fois de retour dans son environnement habituel. La soirée de conclusion portera donc sur les concepts ayant émergé des ateliers pilotes pour y déceler les germes d'une thématique pour une prochaine édition de l’Université d’été…

Les participants auront également la possibilité de continuer leurs échanges sur des plateformes en ligne, notamment sur un forum de discussion, une zone de partage d’articles de blog avec contenu multimédia et un espace wiki (pour développer par exemple les ateliers pilotes). Un bilan de cette première édition de l’Université d’été sera l’occasion de réfléchir à sa pertinence et au format à donner à d'éventuelles éditions ultérieures de l'Université d'été. L’équipe désignée afin de dresser ce bilan travaillera également sur les recommandations à soumettre aux organisateurs de l’Université d‘été et à adresser par la suite à d’autres organismes dans le domaine universitaire ou artistique. De plus, un recueil sera publié afin de poursuivre la diffusion des découvertes ainsi que le bilan de cette première Université d’été. Enfin, un film sur l’Université d’été sera réalisé et mis en ligne sur internet.

Groupes cibles

Outre les organisateurs, l’Université d’été comptera parmi ses participants :

• Les organisateurs des 9 ateliers désignés par le comité de sélection international
• Des participants issus de domaines universitaires
• Des participants issus de domaines artistiques
• Des membres de la société civile (acteurs culturels, membres d’ONG, décideurs) Adipisicing elit, sed do eiusmod

Le nombre de participants sera limité à 30 afin d’assurer la qualité et l’intensité du partage des connaissances et de l’échange d’expériences. Une procédure de sélection a été mise en place pour renforcer la diversité des domaines disciplinaires et des origines des participants. Grâce au soutien financier de la Fondation Asie-Europe (ASEF), nous pouvons couvrir les frais de quelques participants issus d’Asie (Pays ASEF) pour le voyage, l’hébergement et les frais de visa. (Les frais de déplacement et de vie seront à la charge des autres participants. Les frais d’hébergement seront couverts grâce au soutien financier de la Municipalité de Gabrovo).

À propos des organisateurs

La première édition de l’Université d’été des arts et sciences pour un développement soutenable des transformations sociales tire son efficacité organisationnelle du niveau d’expertise des trois organismes internationaux et non-gouvernementaux à l’origine de cet événement :

• L’Association internationale des centres culturels (I3C), basée en Bulgarie, apporte au projet sa connaissance et son engagement en matière de mise en place et de coordination d’un réseau global des centres culturels nationaux, en partenariat avec notamment l’ENCC (Réseau européen des centres culturels). C’est donc sa vision et son expérience de la dynamique des réseaux, de la coopération transcontinentale, mais également sa pratique et sa connaissance concrète du terrain (les réalités des petits espaces dédiés à l’épanouissement de la communauté à travers les arts) que l’I3C met à la disposition de l’Université d’été. L'expertise de l’I3C s’est accrue dans le domaine de la sauvegarde du patrimoine immatériel et de la diversité culturelle, en accord avec les conventions établies par l’UNESCO. L’I3C s’implique plus avant en assumant le rôle d'organisateur et de coordinateur de la première édition de l’Université d’été en août 2010, qui suivra le Colloque international pour la sauvegarde du patrimoine immatériel et des arts communautaires pour la transformation sociale ainsi que le lancement d’un réseau transcontinental de centres culturels en mai 2010.
  
• Le réseau international Cultura21 (« Chantiers culturels pour la soutenabilité »), dont les antennes sont situées en Allemagne, au Mexique, en Italie et au Danemark, apporte quant à lui sa connaissance de la recherche-action dans le domaine des arts et des sciences pour « le développement soutenable des cultures » ainsi qu'un réseau de scientifiques, d'universitaires, d'artistes et autres acteurs culturels. L’antenne allemande « Cultura21 Institut e.V. » et la « Cultura21 Nordic » basée au Danemark s’associent à l’I3C pour la préparation et l’organisation de l’Université d’été et pour en dresser ensuite le bilan (comité d’évaluation).
• Le réseau latino-américain de l’art pour la transformation sociale (AFST), dont le siège se situe en Argentine, enrichit le projet de sa connaissance des pratiques artistiques en tant que moteur de transformations communautaires ainsi que d’un vaste réseau d’associations des arts communautaires à travers l’Amérique Centrale et l’Amérique du Sud. L’AFST apportera conseils et interactions avec des acteurs exceptionnels de la transformation sociale par les arts et les sciences. 

Le réseau latino-américain de l’art pour la transformation sociale (AFST), dont le siège se situe en Argentine, enrichit le projet de sa connaissance des pratiques artistiques en tant que moteur de transformations communautaires ainsi que d’un vaste réseau d’associations des arts communautaires à travers l’Amérique Centrale et l’Amérique du Sud. L’AFST apportera conseils et interactions avec des acteurs exceptionnels de la transformation sociale par les arts et les sciences. 

• Le Centre d’étude de la culture et de la société (CSCS), situé à Bangalore en Inde. Ce centre s’attache à « comprendre la culture dans son sens le plus large, c'est-à-dire regroupant toutes les tentatives des individus à produire du sens de différentes manières ».
  
• L’Association internationale d’artistes (KHOJ), située à Dehli en Inde, qui « vise à soutenir et développer des formes d’arts variées telles que les arts médiatiques, l’art performance, les installations vidéo et sonores, l’art environnemental, public ou communautaire ainsi que les autres modes expérimentaux de production culturelle ».

Partenaires

Ce projet bénéficie du soutien de :

• La fondation Asie-Europe (ASEF), en tant qu’action de suivi du projet Dialogue sur les Arts, la Culture et le Changement Climatique (Pékin, 2008)
  
• La municipalité de Gabrovo. 

Traduction de l’Anglais au Français : Myriam Guichard (étudiante en Master 2 Rédacteur - Traducteur, Université de Bretagne Occidentale)